Revue de presse "Mourir (ça n'existe pas)" Causette (numéro #60) "Dans cet album qui laisse la part belle aux grandes illustrations à l’aquarelle, Théa Rojzman questionne nos possibilités à rompre avec l’héritage dramatique laissé par nos parents. […] C’est effrayant, mais c’est beau.
" A.C
Sélection de la Cité internationale de la BD et de l'image d'Angoulême "Un album pictural et singulier, grave et drôle, explorant le thème de la mort et de la vie, de l’enfance et de l’imaginaire. Une œuvre belle et forte. (...) Le parcours personnel de Théa Rojzman nourrit cette très belle bande dessinée, poétique et audacieuse qui explore, entre imaginaire et réalité, les grands tourments existentiels et psychologiques de l’existence." DBD #94 - juin 2015 "Rares sont les auteurs capables de produire plusieurs oeuvres d'une même qualité. Théa Rojzman est de ceux-là ! Après nous avoir bouleversés avec La Réconciliation, Le Carnet de rêves et Sages comme une image, la voilà qui réitère avec un récit axé sur le thème, ô combien délicat, du leg affectif. (...) Conduit avec intelligence et une extrême délicatesse, poignant jusqu'à la torture, ce récit interroge autant qu'il éclaire." Olivier Mimran
L'Avis des bulles #184
Chroniques d'Asteline (Belgique) "Il est des styles peu accessibles de prime abord, mais tellement singuliers et aptes à nous surprendre à chaque livre qu'on ne peut s'empêcher d'en redemander dès qu'on y a goûté. Théa Rojzman fait partie de ces créateurs hors normes. (...) Si son autobiographique Carnet de rêves avait provoqué chez nous un choc jubilatoire et inoubliable découverte, Mourir (ça n'existe pas) m'apparaît comme une étape bibliographiqe importante, une sorte de synthèse aboutie de son travail antérieur, tout en expérimentant une voie nouvelle..." Joachim Regout Canal BD "Théa Rojzman a travaillé en couleurs directes sur cet album qui pourrait faire le régal de tout amateur de psychologie et de récits intimistes. [...] Elle impose un rythme de lecture bien particulier [...] où chaque mot compte pour des maux" ActuaBD "Par son extrême sensibilité et ses rapprochements permanents avec la peinture, Théa Rojzman explore ici des angoisses d’enfance, autour de la perte et du monde adulte. (...)Pas toujours facile à suivre, mais réellement fascinant dans l’audace formelle et l’exigence de fond. Car finalement, Mourir (ça n’existe pas) cherche à comprendre les mécanismes psychologiques des deux grandes questions : l’amour et la mort. Avec en filigrane, une belle ode aux anges gardiens, façon La Vie est belle de Frank Capra." David Taugis BDGEST Pour illustrer cette plongée au cœur des sentiments les plus obscurs, cette mise à nue de la psyché de son héros, l’auteur use de teintes profondes, vives, texturées. […] Un voyage au cœur de l’âme humaine non dénué d’humour, cependant […]. O. Boussin BD-Theque "J’ai trouvé le message
juste et touchant, la narration habile et originale, et la fin très belle et
finalement assez positive (après une lecture parfois sombre). PlaneteBD "Elle joue sur les tons de rouge sang, de bleu et de gris, aboutissant à des planches qui claquent, visuellement. Cette approche permet un récit à l’atmosphère psychologique troublante, qui montre clairement que pour bien vivre sa vie, il faut savoir enterrer ses démons." Frédéric Rabe BSCNEWS "Théa Rojzman signe un album d’une grande poésie qui fait un portrait dérangeant des traumatismes qui peuvent être liés à l’enfance (...) Une bande-dessinée poignante qui séduira les amateurs de poésie, de récit psychologique et de graphisme simple travaillé à la peinture." Julie Cadilhac Radio PFM émission rock "Easy Rider" n°1259 "Chaque case forme un tableau et c’est vraiment très très beau. Une bande dessinée extrêmement belle, très onirique." Olivier Valerio Bibliothèque de Peynier "La famille, l'enfance difficile, la mort, le suicide, la folie, la vie... Des thèmes récurrents qui chaque fois sont traités avec justesse et touchent le lecteur, profondément." Culture BD "Aussi émouvant que remuant [...]. Un album dérangeant traité en peinture. Un bijou graphique, une osmose de couleurs." Pierrot Fontanier
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