"A
travers cette chronique sociale truffée d’humour, la scénariste Théa Rojzman
définit cependant avec pas mal de sérieux le périmètre de la psychanalyse.
(...) A travers le dessin d’Anne Rouquette, un trait simple mais idéalement
séquencé, cadré et rythmé, tout est d’une parfaite limpidité.(...) Ce qui est
surtout bien joué, c’est que cette approche didactique se fond dans l’intrigue
sans jamais prendre le pas sur sa continuité, sans jamais nuire à la cohérence
des personnages. Au gré des pages, on compatit, on s’amuse beaucoup, on se met
à se passionner pour cette quête de sens : pourquoi fichtre Emilie est-elle
dépressive ? (...) rares sont les BD à avoir réussi aussi intelligemment
à cerner, sans avoir trop l’air d’y toucher, le sujet sensible de la
psychanalyse."Benoît Cassel
Fémina
"L'association
des deux talents donne une BD tour à tour drôle, touchante, dans laquelle tout
un chacun peut se retrouver. (...) Cette BD, ludique et drôle à la
fois, nous charme dès les premières pages."Lauren
Clerc
"Voilà une BD qui explique en
deux temps trois mouvements, avec humour et justesse, à quoi sert une
psychanalyse. C’est drôle et intelligent, tout ce qu’il faut pour nous
remonter le moral quand on l’a dans les chaussettes. Ni béni-oui-oui (style
« la psychanalyse, il n’y a que ça de vrai ») ni jargonneux (et ça,
c’est rare dans ce domaine), l’histoire d’Émilie est un miroir hilarant à
tendre à nos copines qui flippent (...)
Chapeau aux deux auteurs
(...) Leur « psychanalyse pour les nulles » est un régal. Même
pour celles qui n’en ont pas besoin."Danièle Laufer
"Le sujet peut paraître grave, mais Théa Rojzman et
Anne Rouquette le dédramatisent grâce à un humour qui frise parfois le non-sense
pour la première et un dessin spontané et très coloré pour la seconde (...)
Émilie voit quelqu'un mérite assurément que l'on aille, si nécessaire, au-delà
de son image "mode" pour découvrir un récit qui interpelle, touche, et s'avère
au final fort sympathique !" Pierre Burssens